CANCOM Switzerland équipe le Grand Resort Bad Ragaz d’un nouveau système informatique

Zürich/Bad Ragaz SG, février 2024

CANCOM Switzerland a équipé les plus de 400'000 mètres carrés du Grand Resort Bad Ragaz d'un réseau WiFi6 en cours d'exploitation. Contrairement à l'ancien réseau WLAN, l'équipe informatique de l'établissement peut désormais l'adapter de manière autonome aux besoins individuels.

L’entreprise de services et de commerce informatique CANCOM Switzerland a installé l’infrastructure réseau WiFi6 la plus moderne de Huawei au Grand Resort Bad Ragaz. Selon un communiqué de presse de CANCOM, l’ancien réseau de cet hôtel 5 étoiles de plus de 400’000 mètres carrés a été remplacé en cours de fonctionnement par 80 commutateurs, 500 points d’accès, deux pare-feux physiques de Palo Alto Networks et cinq instances virtuelles. En outre, deux contrôleurs WLAN performants et quatre serveurs de gestion hautement fonctionnels ont été mis en œuvre.

L’introduction de la technologie WiFi6 permet une connexion Internet rapide et une communication fluide sur l’ensemble du site et de ses différents bâtiments. De plus, selon CANCOM, le Grand Resort peut rendre le séjour de ses hôtes encore plus agréable, par exemple avec des terminaux de caisse.

En outre, selon les informations fournies, le nouveau réseau confère à l’équipe informatique de l’hôtel une flexibilité et une autonomie nettement plus grandes : « Lorsque les clients ont apporté leur propre équipement informatique ou ont besoin de leur propre réseau séparé, cela représentait toujours un grand défi », explique Reto Schwengeler, responsable de l’infrastructure et de la sécurité de l’hôtel, cité dans le communiqué. « Avec l’ancien environnement réseau, de telles adaptations nécessitaient beaucoup d’efforts et nous étions tributaires d’une assistance externe » Désormais, l’équipe interne bénéficie d’une solution de gestion iMaster claire.

Grâce à « l’excellente collaboration » avec CANCOM Switzerland, le projet a pu être mené à bien dans un délai très court. « Avant », dit Schwengeler, « nous recevions des réclamations presque chaque semaine. Aujourd’hui, je n’entends plus rien »

Plus d'articles